Cette dépêche est la dixième de sa série, après celles de 2011, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
Comme l’année précédente, cette année reste particulière, avec d’un côté une pandémie et ses conséquences dans le domaine de la santé (une partie des dons va aller vers la recherche médicale, les fonds de soutien aux urgentistes, etc.), et d’autre part les conséquences sociales de la crise sanitaire comme le chômage et la pauvreté (une autre partie des dons va se réorienter vers les soupes populaires, l’hébergement d’urgence, etc.). On pourrait ajouter les tensions dans la société qui pourraient orienter des dons vers les journalistes (suivi des violences et vérification des faits), les observateurs des prisons, etc. Les informations sur ce sujet me semblent facilement accessibles par ailleurs, je ne les détaillerai pas plus (et je ne suis pas forcément le mieux à même de parler de tous ces sujets non plus, d’autres le font bien mieux).
Non, cette année encore, je m’adresse à toi libriste, qui a procrastiné jusqu’aux dernières heures pour faire des dons, déductibles des impôts ou non. Toute l’année (et celle d’avant) on se promet de soutenir telle ou telle action sur tel ou tel sujet qui nous semblait extrêmement important. Citons par exemple quelques associations de promotion et défense du Libre, des droits dans l’espace numérique ou de la liberté d’expression, dont les dons sont déductibles en France : Amnesty France, Debian France, Framasoft, Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), Libre à Toi / Radio Cause Commune, Ligue des Droits de l’Homme (LDH), Open Food Facts, OpenStreetMap France, Reporters Sans Frontières (RSF), Wikimédia France, etc.